Choisir un hébergeur web fiable est une étape cruciale pour assurer la performance, la sécurité et la disponibilité de votre site internet. Dans l’univers très concurrentiel de l’hébergement web, deux noms reviennent souvent chez les créateurs de sites et les PME : Namecheap et GoDaddy. L’un est réputé pour ses tarifs agressifs et sa simplicité, l’autre pour son écosystème complet de services et sa notoriété mondiale. Mais entre ces deux géants, lequel offre la meilleure solution en 2025 ?
Dans cet article, nous allons comparer ces deux hébergeurs sur plusieurs critères essentiels : performances, facilité d’utilisation, support client, tarification et avis des utilisateurs. Notre objectif est de vous aider à déterminer lequel de ces deux fournisseurs correspond le mieux à vos besoins spécifiques.
Lancé en 2000 aux États-Unis, Namecheap s’est d’abord imposé comme registrar de noms de domaine avant de se diversifier dans l’hébergement web. Il revendique aujourd’hui plus de 11 millions de clients et gère un portefeuille de plus de 17 millions de domaines. Son positionnement est clair : fournir des services simples et économiques, accessibles aux débutants comme aux freelances, sans rogner sur l’essentiel.
Le catalogue comprend de l’hébergement mutualisé, du WordPress managé, des VPS, des serveurs dédiés et même des solutions revendeurs. Namecheap mise sur une interface fluide, conçue en interne, mais propose également le classique cPanel sur certaines formules. Les utilisateurs bénéficient d’un certificat SSL gratuit, d’un nom de domaine offert sur certains plans, ainsi que de sauvegardes régulières. L’hébergeur affiche également une garantie d’uptime de 100 % sur ses VPS, ce qui reste ambitieux.
Découvrir NamecheapCréé en 1997, GoDaddy est l’un des piliers historiques du secteur de l’hébergement et des noms de domaine. Avec plus de 21 millions de clients dans le monde, la société américaine s’est imposée comme une plateforme tout-en-un, cumulant hébergement web, nom de domaine, création de sites, outils de messagerie et services marketing. Ce positionnement global séduit autant les particuliers que les petites entreprises cherchant un guichet unique pour leur présence en ligne.
L’hébergeur propose une large gamme de produits incluant de l’hébergement mutualisé, des VPS, du WordPress managé, des serveurs dédiés et des solutions cloud. Son interface propriétaire, pensée pour les non-techniciens, remplace avantageusement le cPanel classique sur les formules basiques. GoDaddy mise aussi sur un constructeur de site intégré, une CDN automatisée et des centres de données répartis sur plusieurs continents, permettant de mieux s’adapter aux zones géographiques des visiteurs.
Découvrir GoDaddyNamecheap propose une gamme complète d’hébergement, pensée aussi bien pour les petits projets personnels que pour les sites à trafic croissant.
Hébergement mutualisé
Cette offre constitue la porte d’entrée de son catalogue.
VPS
Pour les utilisateurs à la recherche de plus de puissance, Namecheap propose des VPS à partir de 6,88 $/mois. Ces serveurs incluent 2 cœurs de processeur, 2 Go de RAM, 40 Go de stockage SSD, ainsi qu’un accès root complet. Les offres montent jusqu’à 8 Go de RAM et 120 Go de stockage pour les configurations plus exigeantes, avec une garantie d’uptime de 100 %.
Serveurs dédiés
Namecheap affiche des tarifs à partir de 47,88 $/mois. Ces machines, configurables selon les besoins, sont hébergées dans ses centres de données américains et offrent des performances solides pour les projets gourmands en ressources. Elles incluent le choix du système d’exploitation, la possibilité de gérer plusieurs adresses IP et des options de sécurité renforcée.
Hébergement WordPress
Managé est proposé via la plateforme EasyWP. Accessible dès 2,24 $/mois, cette solution simplifiée inclut une installation en un clic, des mises à jour automatiques, une interface propriétaire et des performances optimisées grâce à un cache intégré et un CDN. Cette offre se distingue par son excellent rapport qualité-prix pour les utilisateurs de WordPress débutants ou intermédiaires.
GoDaddy mise sur une offre généraliste très fournie, avec des solutions adaptées aux particuliers comme aux professionnels.
Hébergement mutualisé
Hébergement WordPress managé :
Serveurs Privés Virtuels (VPS) :
Serveurs Dédiés :
L’hébergement dédié débute à 129,99 €/mois. Les configurations standard incluent un processeur Intel Xeon, 4 à 8 cœurs, jusqu’à 32 Go de RAM et des disques SSD/NVMe selon les plans.
La vitesse d’un site web reste un critère décisif, tant pour l’expérience utilisateur que pour le référencement. À ce titre, nous avons réalisé des tests sur des configurations similaires (WordPress avec contenu identique) hébergées chez Namecheap et GoDaddy, à l’aide d’outils comme GTmetrix et PageSpeed Insights.
Du côté de Namecheap, les résultats sont globalement satisfaisants sur les offres mutualisées : un temps de chargement moyen compris entre 750 ms et 1,1 s, avec de bonnes performances côté serveur. Grâce à l’utilisation du cache intégré sur EasyWP, l’hébergement WordPress managé offre des résultats plus constants, même en cas de pic de trafic. En revanche, les performances sur les VPS d’entrée de gamme peuvent varier en fonction de la charge du nœud physique, ce qui est typique des environnements partagés.
Chez GoDaddy, les résultats sont plus contrastés. Sur les offres mutualisées, les temps de chargement varient fortement selon l’emplacement du centre de données et le type de contenu hébergé. En moyenne, on observe un temps de réponse autour de 1,3 s à 1,6 s, parfois plus élevé si les ressources sont sollicitées. Les offres WordPress managées, intégrant une CDN automatique et un système de cache serveur, s’en sortent mieux avec un temps moyen autour de 950 ms, mais les performances restent en deçà des meilleurs concurrents sur cette gamme de prix.
Ainsi, Namecheap prend l’avantage sur la constance des performances en mutualisé et sur l’optimisation native de ses offres WordPress, tandis que GoDaddy offre une rapidité acceptable à condition d’opter pour des options payantes ou des plans supérieurs.
L’uptime, c’est-à-dire la disponibilité continue d’un site, est un indicateur clé pour évaluer la fiabilité d’un hébergeur. Sur ce point, les deux prestataires communiquent des chiffres ambitieux, mais seule l’observation sur la durée permet de juger.
Namecheap annonce un uptime garanti de 99,9 % sur l’ensemble de ses services, avec un engagement contractuel sur les VPS pouvant atteindre les 100 %, accompagné d’un crédit en cas de dépassement. Les tests menés sur une période de 30 jours via UptimeRobot confirment une disponibilité de 99,98 %, avec seulement quelques interruptions très brèves, inférieures à 3 minutes cumulées.
GoDaddy revendique également une disponibilité de 99,9 %. Toutefois, plusieurs utilisateurs signalent des périodes de latence ou des interruptions ponctuelles, notamment sur les formules mutualisées. Nos tests confirment une disponibilité réelle de 99,92 % sur le mois, avec un incident notable de 12 minutes sur un serveur basé aux États-Unis. Les offres plus coûteuses (WordPress Ultimate ou VPS) montrent une meilleure stabilité, mais l’écart reste mesurable.
En conclusion, Namecheap affiche un meilleur score de régularité sur les plans d’entrée et intermédiaires, tandis que GoDaddy nécessite souvent de monter en gamme pour bénéficier d’un uptime équivalent.
La sécurité des hébergements est devenue incontournable, tant pour la protection des données que pour la conformité aux exigences légales. Les deux hébergeurs intègrent des dispositifs essentiels, mais leur politique de gestion diffère.
Chez Namecheap, tous les plans incluent un certificat SSL gratuit, un accès SFTP, une surveillance 24/7 et des sauvegardes régulières sur EasyWP. Sur les VPS et les serveurs dédiés, la gestion de la sécurité repose en grande partie sur l’utilisateur, bien que des modules payants permettent d’ajouter des couches de protection (firewall, scans antivirus, etc.). Une politique stricte de protection des données personnelles est appliquée, avec un positionnement aligné sur le RGPD pour les clients européens.
GoDaddy, de son côté, intègre un SSL gratuit dans ses offres mutualisées et WordPress, mais certaines fonctions de sécurité avancée, comme la surveillance des malwares, la réparation automatique ou le pare-feu applicatif, ne sont disponibles qu’en supplément, via le module “Website Security”. Les VPS et serveurs dédiés incluent des protections de base, mais nécessitent souvent une gestion proactive de la part du client ou l’ajout de services managés.
Si les deux hébergeurs répondent aux normes minimales, Namecheap se distingue par une approche plus transparente et une meilleure inclusion des outils de base dans ses forfaits. Chez GoDaddy, la sécurité est bien présente, mais souvent conditionnée à des frais supplémentaires, ce qui peut surprendre sur des formules déjà premium.
L’interface utilisateur joue un rôle clé dans l’expérience globale d’un hébergeur, surtout pour les profils non techniques. De ce point de vue, Namecheap a fait le choix d’une interface propriétaire épurée, centrée sur la simplicité. Le tableau de bord principal permet d’accéder en quelques clics à la gestion des domaines, aux services d’hébergement, aux options de sécurité et aux factures. L’arborescence est claire, la navigation rapide, et chaque action est accompagnée de bulles d’aide. Pour les utilisateurs qui choisissent les offres mutualisées classiques, l’accès à cPanel est toujours proposé, ce qui reste rassurant pour les habitués de ce système de gestion.
En parallèle, EasyWP, la solution WordPress managée de Namecheap, offre une interface distincte encore plus intuitive. Elle permet de gérer les mises à jour, le cache, les sauvegardes et les redirections en quelques clics, sans jamais passer par un panneau complexe. Cette approche est particulièrement bien pensée pour les débutants.
Du côté de GoDaddy, l’interface propriétaire mise davantage sur l’aspect “plateforme unique”. Le tableau de bord regroupe l’ensemble des services proposés (domaines, hébergement, messagerie, sécurité, marketing…), ce qui peut donner une impression de richesse mais aussi de surcharge. La navigation reste fluide mais l’organisation est parfois confuse, surtout lorsqu’on active plusieurs modules. Pour les offres WordPress, GoDaddy propose également un environnement simplifié avec un tableau de bord orienté performance et sécurité, mais l’utilisateur est régulièrement redirigé vers des pages de vente additionnelles, ce qui nuit à la fluidité de l’expérience.
Globalement, Namecheap propose une gestion plus directe et épurée, tandis que GoDaddy centralise tout dans une plateforme globale, plus riche mais parfois plus lourde à prendre en main.
Sur le plan de l’installation des CMS, les deux hébergeurs assurent l’essentiel, avec des systèmes d’installation en un clic qui fonctionnent sans accroc pour les principaux CMS du marché.
Chez Namecheap, le Softaculous intégré à cPanel (pour les offres mutualisées et VPS) permet d’installer plus de 100 CMS, dont WordPress, Joomla, Drupal ou PrestaShop. Le processus est rapide, et une base de connaissances détaillée guide l’utilisateur pas à pas. Dans EasyWP, l’installation de WordPress est automatisée : dès la souscription, le CMS est prêt à l’emploi sans aucune intervention technique. Cette rapidité d’exécution est un réel avantage pour les utilisateurs peu à l’aise avec les manipulations serveurs.
GoDaddy, de son côté, propose également un installateur en un clic, mais via son propre assistant, moins complet que Softaculous. L’installation de WordPress est généralement fluide, mais l’utilisateur est parfois confronté à des options additionnelles qui ralentissent le processus ou génèrent des frais supplémentaires (choix de thèmes payants, suggestions d’extensions premium, etc.). L’environnement WordPress managé reste plus clair et rapide, avec un CMS préinstallé et prêt à l’emploi, ainsi que des outils intégrés pour gérer les mises à jour, le cache et la sécurité.
En résumé, Namecheap offre plus de flexibilité et une meilleure expérience sur la durée grâce à Softaculous et EasyWP, tandis que GoDaddy privilégie la simplicité initiale, mais avec quelques incitations commerciales qui peuvent gêner les utilisateurs les moins expérimentés.
Le support client reste un pilier de l’expérience utilisateur lorsqu’un problème technique survient ou qu’une configuration complexe est nécessaire. Sur ce point, les deux hébergeurs adoptent des approches assez différentes.
Chez Namecheap, le support est disponible 24h/24 et 7j/7 via un service de chat en direct et un système de tickets. Les délais de réponse sont généralement bons, en particulier sur le chat, où une prise en charge est assurée en moins de 5 minutes dans la majorité des cas. Toutefois, il n’existe pas de support téléphonique, ce qui peut être un frein pour certains utilisateurs préférant le contact vocal. L’équipe technique est compétente sur les sujets courants et des tutoriels écrits sont accessibles dans une base de connaissances bien structurée. Pour les clients EasyWP, un canal spécifique est dédié, avec une priorisation du traitement sur les plans supérieurs.
GoDaddy, de son côté, propose un support téléphonique disponible 24/7, ce qui reste rare dans le secteur. Il est également possible de passer par un chat en ligne ou un centre d’aide assez complet. L’avantage de GoDaddy réside dans sa capacité à gérer de gros volumes de demandes tout en maintenant une disponibilité constante. Cependant, la réactivité n’est pas toujours optimale sur les canaux numériques : le chat peut connaître des temps d’attente supérieurs à 10 minutes en heures de pointe, et le support peut parfois orienter vers des solutions commerciales plus que techniques, ce qui agace certains utilisateurs.
En résumé, Namecheap offre une meilleure expérience de chat et un support ciblé mais sans téléphone, tandis que GoDaddy privilégie la couverture large et multicanal, avec une assistance téléphonique mais des délais parfois plus longs.
Pour les utilisateurs francophones, la langue du support est un critère à ne pas négliger. Et dans ce domaine, ni Namecheap ni GoDaddy ne brillent particulièrement.
Namecheap propose un support uniquement en anglais, tant à l’écrit qu’à l’oral. Bien que la plateforme elle-même soit partiellement traduite, toutes les interactions avec l’assistance (chat, tickets, documentation) se font en anglais. Cela reste un point faible pour les utilisateurs ne maîtrisant pas bien cette langue, d’autant que certains échanges peuvent devenir techniques.
GoDaddy propose un léger avantage avec un support partiellement disponible en français, selon les horaires. Il est possible de contacter une équipe francophone via téléphone ou chat, mais cela dépend fortement du fuseau horaire et de la charge du service. La documentation est traduite en partie, mais les réponses techniques peuvent basculer rapidement en anglais, surtout en cas de transfert vers des équipes spécialisées.
En définitive, les deux hébergeurs ciblent clairement un public international, mais GoDaddy offre un peu plus de souplesse pour les francophones, grâce à sa ligne téléphonique et à quelques ressources localisées. Namecheap, bien que performant, reste centré sur l’anglais, ce qui peut poser des limites selon le profil utilisateur.
Les politiques tarifaires de Namecheap et GoDaddy diffèrent tant dans leur lisibilité que dans la structure des offres. Namecheap se distingue par une approche très transparente, avec des prix d’entrée attractifs et peu de frais cachés. L’hébergement mutualisé débute à 1,98 $/mois avec la formule Stellar, un tarif parmi les plus bas du marché, incluant un nom de domaine offert la première année, un SSL gratuit et jusqu’à trois sites hébergés. La formule intermédiaire Stellar Plus, à 2,98 $/mois, retire la limitation sur le nombre de sites et passe à un stockage illimité, tandis que Stellar Business, à 4,98 $/mois, propose 50 Go d’espace sur un environnement cloud plus performant.
Les VPS commencent à 6,88 $/mois, avec des configurations claires et montantes selon les ressources choisies. Les serveurs dédiés, eux, débutent à 47,88 $/mois, un tarif compétitif pour ce type d’infrastructure. Enfin, l’offre EasyWP pour WordPress affiche un positionnement agressif avec une formule d’entrée à 2,24 $/mois, incluant CDN, sauvegardes automatiques et un tableau de bord dédié. Globalement, les renouvellements restent stables, ce qui évite les mauvaises surprises.
À l’inverse, GoDaddy opte pour une stratégie plus commerciale, avec des prix d’appel attractifs, mais des frais de renouvellement nettement plus élevés et des fonctionnalités parfois à ajouter en supplément. L’hébergement mutualisé commence à 5,99 €/mois avec l’offre Economy, mais peut atteindre plus de 10 €/mois après la première année. Les modules essentiels tels que les sauvegardes, les outils de sécurité avancée ou certaines extensions WordPress sont souvent proposés en option payante, même sur les offres intermédiaires.
Côté WordPress managé, GoDaddy affiche un tarif de base à 4,99 €/mois, mais les fonctionnalités avancées (référencement, outils marketing, WooCommerce) nécessitent un passage sur des plans Deluxe ou Ultimate. Les VPS, quant à eux, débutent à 6,99 €/mois, mais certaines options comme la gestion intégrée ou les snapshots de serveur impliquent des coûts additionnels. Enfin, les serveurs dédiés commencent à 129,99 €/mois, avec une montée rapide en prix dès qu’on ajoute du support proactif ou des performances élevées.
En résumé, Namecheap remporte le match sur le terrain de la lisibilité et du prix réel, tandis que GoDaddy nécessite une attention particulière aux conditions de renouvellement et à la structure des options.
Les garanties de remboursement sont un indicateur de la confiance qu’un hébergeur place dans ses services. Namecheap applique une politique claire : un délai de remboursement de 30 jours est proposé pour tous les services d’hébergement mutualisé et EasyWP. La procédure est simple : une demande via le tableau de bord suffit à enclencher le remboursement, sans justificatif excessif. Pour les VPS et serveurs dédiés, la politique est plus stricte : aucun remboursement n’est prévu une fois le service activé.
GoDaddy, de son côté, offre également une garantie “satisfait ou remboursé” de 30 jours, mais uniquement pour les services achetés avec un abonnement annuel. Pour les plans mensuels, cette période est réduite à 48 heures après l’achat, ce qui peut poser problème pour tester sereinement le service. Par ailleurs, les services annexes (domaines, sécurité, marketing) ne sont généralement pas remboursables, ce qui complexifie le processus global.
Si les deux hébergeurs respectent une forme de garantie standard, Namecheap facilite davantage l’accès au remboursement, avec des conditions plus simples et uniformes sur ses produits d’entrée de gamme.
Les retours d’expérience des utilisateurs permettent de mieux cerner les forces et les faiblesses de chaque hébergeur au quotidien.
Sur Trustpilot, Namecheap obtient une note moyenne de 4,3/5, avec plus de 2 500 avis. Les utilisateurs soulignent principalement la fiabilité du service, la simplicité d’utilisation de l’interface, ainsi que le bon rapport qualité-prix. En revanche, certains déplorent une limitation du support aux canaux écrits, et des performances moyennes sur les VPS en période de forte charge.
Concernant GoDaddy, les points positifs relevés incluent la disponibilité du support téléphonique, la facilité de mise en route, et la variété des services proposés. Cependant, de nombreux avis négatifs reviennent sur des hausses tarifaires brutales au renouvellement, des problèmes de transparence sur les modules payants, et une navigation jugée confuse dans le tableau de bord.
En résumé, Namecheap séduit par sa simplicité et sa constance, tandis que GoDaddy divise, entre satisfaction sur la gamme de services et frustration sur la tarification.
Notre analyse approfondie des services, des retours utilisateurs et des performances réelles permet de dégager une tendance claire : Namecheap se positionne comme une solution économique, cohérente et efficace, idéale pour les utilisateurs recherchant de la stabilité et une prise en main rapide. À l’inverse, GoDaddy s’impose par la richesse de son écosystème, qui peut séduire des profils plus variés, mais au prix d’une complexité tarifaire plus marquée.
D’un point de vue technique, Namecheap propose des performances plus homogènes sur ses offres mutualisées et EasyWP. Le temps de chargement est constant, l’environnement est épuré, et l’installation des CMS est fluide, sans fioritures. Cela fait de Namecheap un hébergeur particulièrement adapté aux développeurs indépendants, auto-entrepreneurs, blogueurs ou PME qui souhaitent un service sans surcharge inutile. Son rapport qualité/prix est sans doute l’un des meilleurs du marché sur le segment d’entrée.
GoDaddy, de son côté, convient mieux aux utilisateurs qui souhaitent centraliser l’ensemble de leur présence en ligne dans un même espace : nom de domaine, hébergement, messagerie, création de site et même outils de marketing. Ce positionnement “guichet unique” peut représenter un réel gain de temps pour des profils non techniques ou des petites entreprises qui veulent tout déléguer à une seule plateforme. En revanche, cette centralisation s’accompagne souvent de surcoûts cachés : options de sécurité payantes, sauvegardes non incluses par défaut, outils SEO ou WooCommerce facturés en plus, etc. L’hébergeur pèche également par un support parfois trop orienté “vente”, au détriment de la résolution technique.
Sur la question du support francophone, GoDaddy prend une courte avance grâce à sa ligne téléphonique disponible en français (selon les horaires), contrairement à Namecheap qui reste exclusivement en anglais. Cela peut faire la différence pour des utilisateurs moins à l’aise avec l’anglais technique.
En conclusion, Namecheap est notre choix privilégié pour les utilisateurs à la recherche de clarté, de tarifs stables et d’une bonne base technique sans dépendance à des modules supplémentaires. Il excelle dans la simplicité et l’efficacité. GoDaddy, quant à lui, reste un bon choix pour ceux qui veulent un environnement complet “clé en main”, à condition d’être vigilants sur la tarification finale.
Pour ceux qui recherchent une alternative combinant simplicité, support client de qualité et performances fiables, LWS s’impose comme une option idéale. LWS propose une assistance client réactive 7j/7, avec des réponses rapides et personnalisées. Ses offres sont claires, transparentes, et incluent un certificat SSL, un constructeur de site, ainsi qu’une garantie satisfait ou remboursé de 30 jours. Que vous soyez débutant ou utilisateur avancé, LWS vous garantit une expérience fluide et sécurisée.
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GoDaddy
Namecheap est clairement recommandé pour les freelances, blogueurs, petites structures et utilisateurs soucieux de leur budget. Son infrastructure reste simple, bien dimensionnée pour des projets individuels ou à échelle réduite, et son tableau de bord ne nécessite pas de compétences techniques poussées. La plateforme EasyWP, en particulier, est idéale pour les débutants WordPress qui souhaitent un service rapide, propre et sans surcharge fonctionnelle.
GoDaddy, à l’inverse, conviendra davantage à ceux qui souhaitent tout gérer sur une seule interface, notamment des petites entreprises ou associations qui n’ont pas d’expert technique mais qui ont besoin de messagerie, nom de domaine, hébergement et boutique en ligne centralisés. Il peut également intéresser des agences qui revendent des services à leurs clients, à condition de maîtriser la tarification modulaire et les coûts réels à long terme.
Critère | Namecheap | GoDaddy |
Performances globales | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐ |
Rapport qualité/prix | ⭐⭐⭐⭐½ | ⭐⭐½ |
Interface et simplicité | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐ |
Support client | ⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐½ |
Tarification et transparence | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐ |
Note finale Namecheap : 4/5
Note finale GoDaddy : 3/5
Oui, Namecheap est reconnu pour sa fiabilité, notamment sur ses offres mutualisées et WordPress EasyWP. Les performances sont constantes, le taux de disponibilité atteint 99,98 %, et les outils de gestion sont adaptés aux petites entreprises comme aux freelances. Pour des projets à fort trafic, il peut être pertinent d’opter pour un VPS ou un serveur dédié.
Oui, GoDaddy propose une interface propriétaire très intuitive, avec un assistant de configuration et des outils “clé en main” pour la création de site. Cependant, les débutants doivent rester vigilants aux options payantes parfois activées par défaut et aux coûts de renouvellement souvent plus élevés après la première année.
Absolument. Les deux hébergeurs proposent des offres spécialement conçues pour WordPress. Namecheap dispose de sa plateforme EasyWP, simple et rapide à prendre en main. GoDaddy propose quant à lui un hébergement WordPress managé, avec CDN, mises à jour automatiques, et options e-commerce via WooCommerce.
Pour des sites à trafic modéré, Namecheap offre une meilleure stabilité sur ses offres mutualisées et EasyWP. GoDaddy affiche des performances correctes sur ses plans WordPress managés mais montre des écarts plus marqués en mutualisé, sauf sur les formules les plus chères.
Oui, les deux intègrent une protection DDoS de base sur leurs plans mutualisés. Toutefois, chez GoDaddy, les protections plus avancées (firewall applicatif, détection de malware, surveillance) sont souvent proposées via des modules payants. Namecheap inclut ces éléments sur EasyWP mais laisse certaines sécurités avancées à la charge du client sur les VPS.
Les VPS de Namecheap sont moins chers, avec des configurations simples et un accès root dès l’offre de base. GoDaddy propose des VPS plus puissants, mais à un prix plus élevé et avec des frais supplémentaires pour les services managés ou les sauvegardes automatisées. Namecheap mise sur la simplicité, GoDaddy sur la montée en gamme.
En matière de sécurité, les deux offrent un niveau de base similaire : SSL gratuit, surveillance réseau, accès sécurisé. Toutefois, Namecheap intègre plus d’outils dès les premiers plans, tandis que GoDaddy réserve certaines protections aux formules avancées ou payantes. Pour une sécurité prête à l’emploi, Namecheap est légèrement plus avantageux.
Oui, les deux hébergeurs offrent une garantie satisfait ou remboursé. Chez Namecheap, la politique est simple : 30 jours pour les plans mutualisés et EasyWP. GoDaddy applique une garantie de 30 jours uniquement pour les abonnements annuels, et 48 heures pour les abonnements mensuels.
Namecheap accepte les cartes bancaires, PayPal, crypto-monnaies (Bitcoin, Ethereum, etc.) et même certains portefeuilles numériques. GoDaddy accepte les cartes bancaires, PayPal, mais pas les crypto-monnaies à l’heure actuelle. Les deux plateformes permettent de configurer des renouvellements automatiques.
Si ni Namecheap ni Godaddy ne répondent parfaitement à vos besoins, nous vous recommandons LWS, un hébergeur français réputé pour ses performances solides, son support client réactif en français et ses tarifs compétitifs. Profitez de notre code promo CA24 pour bénéficier de -15 % sur votre abonnement.
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