Choisir le bon hébergeur web est crucial pour assurer la performance, la sécurité et la fiabilité de votre site internet. En 2025, deux acteurs dominent ce marché : Squarespace, reconnu pour son design soigné et son interface intuitive, et GoDaddy, célèbre pour sa polyvalence et son offre tout-en-un. Mais lequel de ces deux outils répond vraiment à vos besoins en matière de création, d’hébergement, de performance et de support ?
Dans cet article, nous avons comparé Squarespace et GoDaddy point par point, en testant leurs services sur la base de critères techniques, d’expériences utilisateur, et de retours clients. Si vous hésitez entre les deux, vous trouverez ici tous les éléments pour faire un choix éclairé. Et si aucun ne vous convainc totalement, nous vous proposons aussi des alternatives fiables et performantes, dont une que nous recommandons particulièrement en 2025.
Squarespace est un constructeur de site web fondé en 2003 à New York. À l’origine conçu pour les créateurs de contenu, il s’est imposé au fil des années comme une référence dans la création de sites vitrines, portfolios, blogs et boutiques en ligne. Squarespace propose une solution tout-en-un, intégrant l’hébergement, le nom de domaine, un éditeur visuel, et des fonctionnalités avancées pour le SEO, le e-commerce ou les newsletters.
La plateforme héberge aujourd’hui plus de 4 millions de sites web à travers le monde. Elle est particulièrement populaire auprès des designers, freelances, photographes, artistes, et des petites entreprises qui privilégient l’apparence et la simplicité d’utilisation. Son infrastructure repose sur un hébergement cloud performant avec CDN intégré, garantissant un bon temps de chargement à l’échelle mondiale.
Découvrir SquarespaceCréé en 1997 aux États-Unis, GoDaddy est avant tout connu comme l’un des plus grands registrars de noms de domaine au monde, avec plus de 84 millions de domaines gérés. Mais l’entreprise a largement élargi son offre : elle propose aujourd’hui une suite complète de services incluant l’hébergement web mutualisé, les serveurs dédiés, le VPS, l’email professionnel, et surtout, un créateur de site maison destiné aux débutants.
GoDaddy revendique plus de 21 millions de clients dans le monde et vise un public très large, allant des particuliers aux PME. L’entreprise se distingue par son support client 24/7 multilingue, une interface accessible, et des offres souvent en promotion. Elle permet aussi d’installer WordPress ou WooCommerce en quelques clics, pour ceux qui souhaitent une alternative plus souple à son constructeur natif.
Découvrir GoDaddy
Contrairement aux hébergeurs traditionnels, Squarespace ne propose pas de plans d’hébergement à proprement parler, mais une plateforme intégrée de création et d’hébergement de site web. Tout est inclus dès l’abonnement : nom de domaine, hébergement cloud, sécurité HTTPS, sauvegardes, CMS, support client, etc.
Squarespace se décline en quatre formules principales :
Les templates sont entièrement personnalisables via un éditeur en glisser-déposer, avec une grande attention portée au design. Tous les sites bénéficient d’un hébergement cloud scalable avec CDN et mise en cache automatique.
GoDaddy propose une offre plus diversifiée, combinant hébergement classique et outils de création de site. Voici ses principales options :
Le constructeur de site GoDaddy est simple à utiliser, mais un peu moins flexible que celui de Squarespace sur le plan du design. En revanche, GoDaddy mise sur la modularité de son écosystème : vous pouvez très facilement passer d’un créateur de site à une installation WordPress ou WooCommerce, en fonction de l’évolution de vos besoins.
Du côté de Squarespace, la performance est généralement stable grâce à son infrastructure cloud propriétaire. La plateforme utilise un CDN intégré (Content Delivery Network) pour accélérer la distribution des contenus statiques dans le monde entier, en particulier les images, vidéos ou feuilles de style. Lors de tests réalisés sur GTmetrix et PageSpeed Insights, les sites Squarespace obtiennent des résultats corrects mais pas exceptionnels : un temps moyen de chargement autour de 1,8 à 2,2 secondes, avec des scores PageSpeed compris entre 75 et 85/100 en version mobile. L’optimisation automatique des images et le cache navigateur intégré contribuent à maintenir ces résultats, bien que l’absence d’accès serveur limite les possibilités d’optimisation manuelle.
À l’inverse, GoDaddy affiche des performances très variables selon le type d’offre choisie. Sur l’hébergement mutualisé, les vitesses sont moyennes, avec des temps de chargement proches de 2,5 à 3 secondes, notamment si l’on n’active pas les options de cache ou CDN manuellement. En revanche, l’hébergement WordPress géré ou les VPS de GoDaddy offrent de bien meilleurs résultats : jusqu’à 1,3 seconde de chargement pour un site WordPress bien configuré, avec des scores GTmetrix régulièrement supérieurs à 90/100.
GoDaddy a l’avantage de proposer plus de leviers techniques pour booster les performances : configuration du cache serveur, CDN via Cloudflare, accès aux fichiers .htaccess, compression GZIP, etc. Cela le rend plus souple pour des utilisateurs techniques ou exigeants.
Squarespace revendique un taux de disponibilité supérieur à 99,95 %, sans mise en avant de chiffres précis ni de statistiques publiques issues d’un outil comme UptimeRobot. Toutefois, les retours utilisateurs sont globalement positifs sur la fiabilité de la plateforme. Les pannes sont rares et la maintenance planifiée est bien gérée, ce qui est logique dans un environnement fermé totalement contrôlé par l’éditeur.
Chez GoDaddy, les promesses sont plus ambitieuses : 99,9 % de disponibilité garantie sur l’ensemble des plans mutualisés, VPS et WordPress. Des tests réalisés sur une période de 30 jours avec UptimeRobot confirment un uptime de 99,96 % sur les offres gérées, avec très peu d’interruptions constatées (moins de 5 minutes par mois en moyenne). L’infrastructure s’appuie sur plusieurs datacenters répartis en Europe et en Amérique du Nord.
En matière de sécurité, Squarespace applique par défaut des standards élevés : certificat SSL inclus sur tous les plans, mises à jour automatiques du système, protection anti-DDoS, authentification à deux facteurs, et hébergement sur des serveurs cloisonnés dans le cloud. Les utilisateurs n’ont aucune manipulation à effectuer, la plateforme s’occupe de tout.
GoDaddy, quant à lui, propose un panel de sécurité plus riche… mais à la carte. Le certificat SSL est inclus dans certaines offres (comme WordPress géré), mais peut être facturé séparément sur les plans d’entrée de gamme. Il existe également des options payantes comme SiteLock (analyse de malware), sauvegardes quotidiennes, ou pare-feu applicatif (WAF). En contrepartie, les clients disposent d’un contrôle plus granulaire de leur environnement de sécurité, ce qui peut être un plus pour les développeurs ou entreprises réglementées.
Squarespace mise sur une expérience utilisateur ultra-polie. L’interface centrale combine à la fois le tableau de bord du compte, l’éditeur de site, et les outils de gestion (statistiques, e-commerce, campagnes email, etc.). L’environnement est unifié, fluide, et pensé pour les non-techniciens. Le menu latéral permet de modifier chaque section du site (pages, style, paramètres) sans jamais quitter l’écran principal. Tout est en glisser-déposer, avec des aperçus en temps réel. Aucune connaissance technique n’est requise, ce qui explique sa popularité auprès des artistes, freelances, ou professions libérales.
En revanche, cette interface très intuitive s’accompagne d’un cadre rigide : on ne peut pas sortir de l’écosystème Squarespace, ni ajouter des modules tiers à volonté. Cela limite les possibilités d’évolution ou d’actions complexes comme l’intégration de systèmes de gestion personnalisés.
GoDaddy, de son côté, propose une interface plus segmentée selon l’offre choisie. Pour le Website Builder, l’environnement est très simple, avec une structure par blocs et un éditeur accessible via le tableau de bord principal. En revanche, l’interface client GoDaddy pour l’hébergement classique ou WordPress est plus proche de celle d’un hébergeur traditionnel. On y retrouve la gestion des noms de domaine, des certificats SSL, des bases de données, du DNS, etc. L’utilisateur peut accéder à cPanel ou à une version simplifiée selon le plan souscrit.
Cela donne un avantage clair à GoDaddy en termes de polyvalence et de contrôle, mais l’expérience est un peu moins homogène. Certains utilisateurs débutants peuvent être désorientés par les nombreuses options visibles dès l’accueil du compte.
Chez Squarespace, il n’est pas question d’installer un CMS externe comme WordPress ou Joomla. Tout repose sur le constructeur propriétaire, avec ses propres gabarits, modules e-commerce, outils de blogging, et outils marketing. En contrepartie, l’utilisateur bénéficie d’une expérience parfaitement intégrée, sans avoir à gérer la sécurité, les mises à jour ou les performances. L’ajout de fonctionnalités passe uniquement par le catalogue officiel d’extensions, relativement limité mais stable.
À l’inverse, GoDaddy se distingue par sa souplesse d’intégration. Si l’on choisit une offre d’hébergement mutualisé ou VPS, l’installation de WordPress, Drupal, Magento ou PrestaShop se fait en un clic, via un installateur automatisé (Installatron ou Softaculous). Le plan WordPress géré, quant à lui, préinstalle automatiquement le CMS avec un environnement optimisé : cache serveur, CDN, thème de démarrage et mises à jour automatiques.
Pour les utilisateurs qui souhaitent un site entièrement personnalisé, avec plugins, thèmes et liberté totale, GoDaddy offre une marge de manœuvre bien plus large que Squarespace. C’est également un avantage si l’on souhaite migrer un site existant ou travailler avec un développeur tiers.
Chez Squarespace, le support client est accessible 24h/24 et 7j/7, mais uniquement par chat en direct et email. Il n’existe pas de service téléphonique, ce qui peut frustrer certains utilisateurs habitués à un accompagnement plus direct. Le chat en ligne est principalement actif pendant les heures de bureau aux États-Unis, tandis que l’assistance par email reste disponible à tout moment avec un délai de réponse généralement inférieur à 24 heures. Les échanges sont souvent clairs, bien structurés et accompagnés de ressources utiles, mais cette approche centrée sur l’écrit peut se révéler insuffisante pour résoudre des problèmes urgents.
De son côté, GoDaddy déploie un dispositif de support beaucoup plus étendu. L’entreprise propose un service client multicanal, incluant le téléphone, le chat en direct et l’assistance par ticket. Le service téléphonique est disponible en français durant la semaine, et permet un échange direct avec un conseiller, ce qui est particulièrement apprécié par les utilisateurs professionnels ou moins à l’aise avec les interfaces en ligne. Le chat, quant à lui, reste accessible 24/7, bien qu’il soit principalement opéré en anglais. Enfin, l’espace client propose une gestion centralisée des tickets d’assistance, utile pour suivre les réponses et l’évolution des demandes complexes.
Dans les deux cas, les plateformes mettent à disposition des bases de connaissances bien structurées, mais GoDaddy prend l’avantage en matière d’accessibilité et de diversité des canaux d’assistance.
Squarespace ne propose actuellement aucun support en français. Même si l’interface du tableau de bord est traduite, toutes les interactions avec l’assistance – que ce soit par email ou par chat – se déroulent exclusivement en anglais. Cette limitation peut être un réel frein pour les utilisateurs francophones, en particulier lorsqu’il s’agit de résoudre des problèmes techniques ou de comprendre les modalités contractuelles.
GoDaddy, à l’inverse, a fait le choix d’un véritable ancrage local. Son support téléphonique est assuré en français, avec des horaires adaptés au fuseau horaire européen. Les utilisateurs bénéficient ainsi d’une assistance plus fluide et compréhensible, notamment pour la gestion des noms de domaine, des renouvellements ou des options techniques. Cette accessibilité linguistique, conjuguée à un site entièrement traduit, fait clairement de GoDaddy une solution plus adaptée aux clients francophones.
Squarespace adopte une politique tarifaire transparente, avec quatre formules mensuelles. Le plan « Personnel », facturé environ 16 €/mois (avec engagement annuel), couvre les besoins de base : site vitrine, hébergement, domaine offert la première année et certificat SSL. Le plan « Business », à 23 €/mois, ajoute les fonctionnalités marketing, l’e-mail professionnel, les extensions et l’accès au code CSS/JS. Pour les utilisateurs souhaitant vendre en ligne, la formule « Commerce de base », à 27 €/mois, débloque la gestion complète d’une boutique, tandis que la formule « Commerce avancé », à 49 €/mois, intègre les fonctionnalités e-commerce les plus poussées, comme l’abandon de panier ou les abonnements.
Tous ces prix incluent l’hébergement cloud et les outils sans frais cachés, mais il faut noter que les tarifs sont plus élevés si l’on choisit une facturation mensuelle sans engagement. Squarespace ne propose pas de plan gratuit, mais offre une période d’essai de 14 jours sans obligation de paiement.
Chez GoDaddy, la grille tarifaire est plus complexe en raison du nombre important de services. Le créateur de site (Website Builder) est proposé à partir de 9,99 €/mois pour la version « Basic », avec des prix qui grimpent selon les fonctionnalités : boutique en ligne, intégrations marketing avancées, SEO, etc. Contrairement à Squarespace, GoDaddy propose également des formules d’hébergement mutualisé à partir de 3,99 €/mois pour un seul site, et jusqu’à 12,99 €/mois pour une offre « Deluxe » incluant plusieurs sites, un espace disque étendu et des bases de données supplémentaires.
L’hébergement WordPress géré commence aux alentours de 6,99 €/mois, avec des options plus riches pour les professionnels. Quant aux VPS et serveurs dédiés, les tarifs varient selon la configuration choisie, allant de 5 € à plus de 100 €/mois. Ces offres permettent d’ajuster son infrastructure à ses besoins réels, ce qui constitue un avantage indéniable en matière de flexibilité.
Cependant, il faut être attentif aux tarifs d’appel trompeurs chez GoDaddy : les prix sont souvent réduits la première année, mais augmentent nettement au renouvellement. Certaines fonctionnalités essentielles comme le certificat SSL, les e-mails professionnels ou les sauvegardes sont parfois facturées en supplément, ce qui peut faire grimper la facture.
Squarespace propose une période d’essai gratuite de 14 jours, durant laquelle l’utilisateur peut tester toutes les fonctionnalités sans renseigner sa carte bancaire. Une fois l’abonnement activé, la plateforme accorde un délai de rétractation de 14 jours pour un remboursement complet, à condition que l’achat ait été effectué directement sur leur site. Ce cadre simple et clair rassure les utilisateurs qui souhaitent explorer l’outil avant de s’engager.
Chez GoDaddy, la politique est un peu plus nuancée. Les plans d’hébergement incluent une garantie satisfait ou remboursé de 30 jours pour les contrats annuels, et de 48 heures pour les contrats mensuels. Cette souplesse est appréciable, mais elle s’accompagne de plusieurs exceptions : les domaines, certificats SSL, services supplémentaires ou certaines promotions ne sont pas toujours éligibles au remboursement. Il est donc nécessaire de lire attentivement les conditions générales au moment de l’achat.
Au final, Squarespace propose une approche plus simple et directe, sans frais cachés ni conditions complexes, tandis que GoDaddy se démarque par sa variété d’options, mais au prix d’une certaine vigilance contractuelle. Pour les débutants, la lisibilité de Squarespace peut constituer un avantage ; pour les utilisateurs avertis, GoDaddy offre davantage de leviers d’optimisation budgétaire… à condition de savoir naviguer entre les lignes.
Squarespace bénéficie généralement d’une image très favorable auprès de sa clientèle. Sur des plateformes comme Trustpilot ou G2, les utilisateurs saluent avant tout la qualité visuelle des templates, l’ergonomie de l’éditeur et la fiabilité globale du service. De nombreux avis évoquent une expérience intuitive, un outil qui « fait ce qu’on attend de lui » sans complexité, et un rendu final très professionnel, même sans compétences techniques.
Cependant, les critiques récurrentes pointent certaines limites importantes. D’abord, le manque de liberté de personnalisation, notamment pour les développeurs ou ceux qui souhaitent insérer du code tiers. Ensuite, le tarif est jugé relativement élevé par rapport à d’autres solutions, en particulier lorsque les besoins sont simples. Enfin, l’absence de support en français et de téléphone est régulièrement citée comme un point faible pour les utilisateurs francophones.
GoDaddy, de son côté, reçoit des avis plus partagés. Les utilisateurs apprécient l’offre très complète, la disponibilité du support téléphonique, la gestion centralisée des domaines et la facilité de mise en place de WordPress ou d’un site e-commerce. Certains témoignages louent aussi la réactivité du support en cas de problème de serveur ou de facturation.
En revanche, de nombreuses critiques reviennent sur la hausse des prix au renouvellement, les ventes additionnelles parfois agressives et des lenteurs sur l’hébergement mutualisé. Plusieurs utilisateurs regrettent aussi une interface peu homogène, avec des modules de gestion parfois datés ou mal traduits. Le support est jugé inégal selon les interlocuteurs, bien qu’il soit facilement joignable.
Entre Squarespace et GoDaddy, le choix repose moins sur des performances techniques pures que sur l’approche de la création web.
Squarespace se distingue par sa capacité à offrir un environnement parfaitement calibré pour un utilisateur non technique. Chaque fonction est pensée pour être immédiatement compréhensible : de la construction des pages à la gestion des produits, tout passe par une interface fluide, cohérente, et visuellement irréprochable. En quelques clics, il est possible de créer un site au rendu très professionnel, sans jamais toucher à une ligne de code. Ce niveau de polish dans l’expérience utilisateur est rare, même parmi les autres constructeurs de site concurrents.
Ce modèle fermé, où tout est centralisé, a aussi ses limites. Squarespace n’est pas fait pour ceux qui veulent mettre les mains dans le moteur, ni pour les projets nécessitant des intégrations externes complexes, des systèmes dynamiques personnalisés, ou une architecture spécifique. Son positionnement est assumé : une solution tout-en-un pour créer, publier et gérer un site avec le minimum d’effort, mais aussi avec un certain cadre technique imposé. C’est un excellent choix pour des portfolios, des sites vitrines, ou des boutiques simples, mais il montre ses limites dès que les besoins deviennent très spécifiques.
GoDaddy, en revanche, adopte une logique modulaire plus classique, dans laquelle l’utilisateur peut combiner différents services pour construire un environnement web sur mesure. Son principal atout réside dans cette flexibilité. On peut démarrer avec un créateur de site simple, puis évoluer vers un hébergement WordPress géré, migrer vers un VPS, ou gérer plusieurs domaines et certificats SSL depuis une interface unique. GoDaddy convient bien aux profils plus techniques, aux petites entreprises en croissance, ou aux freelances souhaitant héberger plusieurs projets sur une même infrastructure.
Néanmoins, cette puissance s’accompagne de complexité. L’interface manque parfois de cohérence entre les modules, certains outils semblent moins raffinés, et la politique commerciale (renouvellement, options payantes par défaut, communication floue) demande une vigilance constante. Le service client est accessible, mais les réponses peuvent manquer de profondeur en cas de demande spécifique. GoDaddy peut donc impressionner par l’étendue de ses offres, mais il peut aussi frustrer les utilisateurs qui cherchent une expérience fluide et sans friction.
En résumé, Squarespace séduit par sa finition et sa stabilité, mais s’adresse avant tout à ceux qui veulent une solution simple, élégante et fermée. GoDaddy offre davantage de possibilités d’évolution, au prix d’un engagement plus technique et d’une attention plus soutenue. Le choix dépendra donc moins d’une performance brute que du profil et des objectifs de l’utilisateur final.
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GoDaddy
Squarespace est particulièrement adapté aux créateurs indépendants, aux professionnels libéraux, aux artistes ou aux associations qui souhaitent un site au rendu impeccable sans se perdre dans les aspects techniques. Il s’agit d’une solution idéale pour créer un portfolio, un blog ou un site vitrine de qualité, avec une boutique simple, le tout dans un environnement parfaitement contrôlé.
GoDaddy s’adresse plutôt à des profils plus variés, allant des débutants à l’aise avec le web jusqu’aux développeurs ou PME souhaitant une infrastructure évolutive. Son panel de services lui permet de répondre à une large gamme de projets : sites institutionnels, blogs WordPress, boutiques WooCommerce, ou plateformes sur VPS. Il conviendra davantage aux utilisateurs qui veulent prendre la main sur l’aspect technique ou faire évoluer leur projet avec le temps.
Critère | Squarespace | GoDaddy |
Facilité d’utilisation | ⭐⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ |
Design et templates | ⭐⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐ |
Performances techniques | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ |
Rapport qualité/prix | ⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐ |
Support client | ⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ |
Flexibilité technique | ⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ |
Note globale Squarespace : 4/5
Note globale GoDaddy : 3,5/5
Oui, Squarespace est fiable pour lancer une boutique en ligne simple. Il propose des outils intégrés pour gérer les produits, les paiements, les remises et les notifications clients. En revanche, pour des besoins e-commerce complexes (multi-langue, marketplace, ERP), une solution plus ouverte comme WooCommerce peut être préférable.
Oui, GoDaddy propose un constructeur de site web spécialement conçu pour les débutants, avec des modèles prêts à l’emploi et une prise en main rapide. L’accompagnement client en français est aussi un plus. Toutefois, certaines offres plus techniques comme les VPS nécessitent des compétences avancées.
Squarespace n’est pas compatible avec WordPress, car il utilise son propre système de gestion de contenu. En revanche, GoDaddy propose plusieurs offres d’hébergement WordPress, dont une version gérée avec préinstallation, mises à jour automatiques et support optimisé.
Les deux offrent de bonnes performances si l’on choisit les bonnes options. Squarespace assure une rapidité constante grâce à son infrastructure cloud propriétaire. GoDaddy peut être plus rapide avec ses offres WordPress gérées ou VPS, mais les performances varient davantage sur l’hébergement mutualisé.
Oui. Squarespace intègre une protection anti-DDoS automatiquement dans son infrastructure. GoDaddy propose également cette protection sur la majorité de ses plans, avec des options avancées disponibles selon le type d’hébergement choisi.
La personnalisation est limitée à l’environnement prévu par l’éditeur : les utilisateurs peuvent modifier les styles via l’interface et le CSS, mais ne peuvent pas installer de plugins tiers, modifier le backend ou ajouter des scripts dynamiques avancés.
Oui, GoDaddy propose un écosystème complet incluant hébergement, domaines, email, sécurité, et création de site. Cependant, certains services sont à activer ou à payer séparément, contrairement à une solution vraiment tout-en-un comme Squarespace.
Squarespace permet une annulation et un remboursement complet dans les 14 jours suivant l’achat. GoDaddy offre une garantie de remboursement de 30 jours sur les plans annuels (48 heures pour les plans mensuels), avec certaines exceptions selon les services.
Squarespace accepte les paiements par carte bancaire et PayPal. GoDaddy accepte les cartes, PayPal, Apple Pay et parfois des virements ou crédits prépayés selon le pays.
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